Ce Mardi 17 Mai une rencontre a été tenue par différentes autorités représentantes des différentes institutions du Sénégal.
Cette discussion importante sur les ressources naturelles du Sénégal en présence de Madame Innocence Ntap Ndiaye du haut conseil du dialogue social, les représentants des différents ministères, du forum civil, le représentant de l’assemblée nationale,.
Pour rappel comme il est écrit dans la constitution à l’article 26 que les ressources naturelles appartiennent au peuple.
En effet l’objectif de cette rencontre est de discuter sur tous les projets pétroliers et gaziers en cours au Sénégal.
Parler des projets GTA, Sangomar, et aussi Yakar Teranga et toutes les prospectives en vue notamment le gaz power, bref l’industrialisation du Sénégal dont la petro-chimie par exemple.
Un grand panel sera organisé à travers des ateliers sur les différentes questions soulevées.
Selon les autorités le traitement définitif du gaz et du pétrole est prévu en fin d’année et début 2024.
Cette rencontre montre l’intérêt que le gouvernement a sur les ressources extractives du Sénégal.
Toujours selon le gouvernement les secteurs des mines et des hydrocarbures sont considérés comme des secteurs porteurs de croissance en Afrique et même dans le monde.
De vastes opportunités qu’ils offrent au développement économique et sociale.
En Afrique occidentale les réserves trouvées font presque 30% des réserves de l’Afrique.
Au Sénégal 630 millions de barils de pétrole de réserve de Sangomar, 900000 m3 de gaz de réserve, le Sénégal occupe une place de rang mondial, parmi les Top 10 Africains.
2,5 millions de tonnes destinées à des marchés internationaux environs 70 millions de tep par jour.
Cette opportunité aura un lien étroit avec le plan Sénégal émergent.
Ainsi le gouvernement du Sénégal a renforcé le dispositif glabal dans la gestion de ses ressources naturelles. À cela il faut ajouter la restructuration de Petrosen et révision profonde du cadre juridique dans le domaine des hydrocarbures et du code gazier et prochainement l’adoption du code de l’environnement.
Adja Djité