» Le développement industriel, dans les pays africains, est une condition indispensable d’une croissance soutenue et inclusive. L’industrie accroît la productivité en introduisant de nouveaux équipements et de nouvelles techniques. Elle améliore ainsi l’efficacité de la main-d’œuvre et crée de nouveaux emplois. Pour exploiter les opportunités d’industrialisation qui se présentent à l’Afrique, il faudrait valoriser les produits nationaux, les produits de base agricoles et industrielles, et établir des liens en amont et en aval avec les chaînes de valeur régionales et internationales.
L’industrie au Sénégal, c’est ~14,5% des 130 000 emplois du secteur formel soit un peu plus de 8 500 emplois directs et indirects, représentant près de 24 % du PIB national et ~20 % des exportations.
Le Gouvernement du Sénégal s’est engagé depuis 2014, dans un nouveau référentiel de la politique économique et sociale sur le moyen et le long terme à travers le Plan Sénégal Emergent (PSE) et autour de la vision d’un « Sénégal émergent en 2035, avec une société solidaire et un Etat de droit ».
En dépit des avancées significatives réalisées par l’industrie sénégalaise ces dernières années, force est de reconnaître que l’industrie sénégalaise est caractérisée par une faible productivité et compétitivité.
L’essentiel des matières premières est exporté au détriment des produits manufacturés.
L’industrie sénégalaise, au-delà de son faible impact sur l’économie et le social, n’a que peu d’impacts en dehors de Dakar. Son développement ne saurait se faire sans un fort secteur privé, qui soutient le plus important de la création d’emplois décents.
Asal & Partners propose des modèles de business dans les secteurs prioritaires en Afrique pour générer des revenus, mais aussi pour la création d’emploi qui participe à l’éradication de la pauvreté.
L’une des forces majeures de Asal & Partners, c’est l’expérience capitalisée dans les chaines de valeur prioritaires et la capacité à participer dans leurs structurations « .
Adja Djité