Un débat à poser dans ses vrais termes selon (pape mody Sow journaliste consultant)


Pape Aly Niang en publiant un document frappé secret défense , viole consciemment ou consciemment l’article 5 du code de la presse qui précise :
« Paragraphe 2.- Des droits des journalistes et des techniciens des medias
Article 5.- Le journaliste et le technicien des médias ont droit au libre accès à toutes les sources d’information et d’enquêter sans entraves sur tous les faits d’intérêt public, sous réserve du respect du « secret-défense », du secret de l’enquête et de l’instruction et de la réglementation applicable à l’accès à certains sites ou structures. »
Pourquoi des journalistes se mobiliseraient ils pour quelqu’un qui semble avoir commis une grossière infraction? Cette question pose l’éthique de responsabilité et la déontologie au centre de l’exercice de la profession par rapport aux informations dites de souveraineté et classées en deux catégories : 1- les informations de souveraineté ouvertes, donc déclassifiées pour l’information destinée à la sécurité collective, comme la préparation à la défense collective de la nation menacée d’agressions extérieures: invasions ou pandémies. 2- les informations de souveraineté fermées classées Top Secret de défense comme celle qui expose le confrère Pape Alé Niang à des sanctions sévères voire très sévères, vu la dangerosité de la faute, qui est lourde. Le couvert de journalisme d’investigation ne saurait être au dessus des informations de souveraineté dont le caractère hypersensible et stratégique réclame un traitement particulièrement délicat. Il y va de la sacralité de l’état, de son autorité dans tout écosystème communicationnel.

Papa Mody Sow Journaliste consultant